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Titre : KABYLIE 1871

L'insurrection

Auteurs : Tassadit YACINE avec la collaboration de Abdelhak LAHLOU

 

Ce colloque rompt la perception habituelle de l'histoire, par les institutions officielles, de la résistance puis de la révolte d'une population à l'occupant français avec des moyens dérisoires.

1871, c'est une année de soulèvement populaire qui constitue l'amorce d'une prise de conscience collective, fondement du mouvement national.

1871, c'est aussi le symbole d'une Algérie plurielle incarné dans le combat d'El-Mokrani, grand dignitaire de la Médjana de la noblesse d'épée, les djouads, et de Cheikh Aheddad, chef d'une confrérie religieuse : la Rahmanya. Ce moment, situé dans l'espace et dans le temps, a réuni symboliquement à Béjaïa (entre Seddouk et la Kalâa) des chercheurs algériens et français pour revisiter des pages émouvantes de l'histoire algérienne, non sans lien avec la grande histoire universelle.

 

Tassadit YACINE-TITOUH, spécialiste de la culture berbère, est directrice d'études à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales et chercheuse au Laboratoire d'Anthropologie sociale. Elle anime la revue d'études berbères Awal, fondée en 1985 avec Mouloud Mammeri.

Abdelhak LAHLOU, est professeur de lettres et sciences humaines au lycée polyvalent Saint Nicolas à Paris. Il a soutenu, en 2017, une thèse sur la poésie orale kabyle ancienne à l'École des hautes études en sciences sociales à Paris.

Ont participé au colloque : Mouloud KOURDACHE - Mahdi LALLAOUI - Ali MEKKI - Rachid OULEBSIR - Ouanassa SIARI TENGOUR - Fouad SOUFI - Benjamin STORA - Françoise VERGES.

 

Nombre de pages : 255

Prix public TTC : 800 DA

Kabylie 1871, l'insurrection

800,00دجPrix
  • Ce colloque rompt la perception habituelle de l'histoire, par les institutions officielles, de la résistance puis de la révolte d'une population à l'occupant français avec des moyens dérisoires.

    1871, c'est une année de soulèvement populaire qui constitue l'amorce d'une prise de conscience collective, fondement du mouvement national.

    1871, c'est aussi le symbole d'une Algérie plurielle incarné dans le combat d'El-Mokrani, grand dignitaire de la Médjana de la noblesse d'épée, les djouads, et de Cheikh Aheddad, chef d'une confrérie religieuse : la Rahmanya. Ce moment, situé dans l'espace et dans le temps, a réuni symboliquement à Béjaïa (entre Seddouk et la Kalâa) des chercheurs algériens et français pour revisiter des pages émouvantes de l'histoire algérienne, non sans lien avec la grande histoire universelle.

    Tassadit YACINE-TITOUH, spécialiste de la culture berbère, est directrice d'études à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales et chercheuse au Laboratoire d'Anthropologie sociale. Elle anime la revue d'études berbères Awal, fondée en 1985 avec Mouloud Mammeri.

    Abdelhak LAHLOU, est professeur de lettres et sciences humaines au lycée polyvalent Saint Nicolas à Paris. Il a soutenu, en 2017, une thèse sur la poésie orale kabyle ancienne à l'École des hautes études en sciences sociales à Paris.

    Ont participé au colloque : Mouloud KOURDACHE - Mahdi LALLAOUI - Ali MEKKI - Rachid OULEBSIR - Ouanassa SIARI TENGOUR - Fouad SOUFI - Benjamin STORA - Françoise VERGES.

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