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Présentation :

" Je me sens faible, petite, insignifiante. La sensation n’est pas théorique mais réelle, ma joue pique et brûle. Il m’a frappée, sans raison ni même un prétexte. Par surprise, par déraison, par traitrise. Un être humain peut soit tout cacher, soit changer du tout au tout, soit les deux, mais cela n’aurait pas dû lui arriver à lui, pas à moi, pas à nous. "

Dila et Douni, tous deux enseignants, forment un couple qui vit en parfaite harmonie, du moins en apparence. L’état de grâce n’aura duré que quelques mois après la fête de mariage. Le masque de Douni tombe. Derrière l’universitaire prônant les idées de modernité, se révèle un être froid et cruel, comme tous les maris violents. Dila se résignera-t-elle à accepter son statut de femme battue ? Entre scènes de coups et tentatives de les faire oublier, la trame se déroule sur fond de manipulations déployées par un époux diabolique, auteur de sévices conjugaux mais aussi d’infidélité avec une amante au-dessus de tout soupçon. Le roman invite le lecteur à un périple dans les contradictions de la société et dans les tiraillements de Dila.  Avec des élèves sur lesquels elle transfère son affection, une mère attentive et une directrice d’école solidaire, elle n’est pas seule à souffrir. Ni à réagir. 

L'auteur :

Après des études en économie, journaliste et écrivain, Nadjib Stambouli, avec « Juste une gifle », poursuit le diagnostic d’une société écartelée entre archaïsmes et pulsions de modernité, immersion entamée dans ses œuvres précédentes. Avec son talent apprécié pour la maîtrise de la langue et pour la justesse à restituer les tiraillements des personnages dans un environnement sclérosé derrière une devanture d’ouverture, il est l’auteur d’essais et de nombreux romans aux thèmes pluriels.

Format : 130 mm X 210 mm

Prix public : 1000 DA

JUSTE UNE GIFLE / Roman

1 000,00دجPrix
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